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Stirling Moss Maserati 250 F 1957 Grand Prix
Photo Zenit-E and Kodachrome 64
In this sunny Saturday morning in June 1978 on the circuit of " 24 Heures du Mans", the presence of one Maserati 250F for an Historic race cars in the first 3 lines of the starting grid - among the Jaguar D, Lister Jaguar, Ferrari Testa Rossa and other - was unusual. The presence of the driver who was on his wheel was much less : it was Stirling Moss. Firstly because he won the Grand Prix of Monaco and Monza on a similar car in 1956. Then because he had been, with 10 entries from 1951 to 1961, one of the great leaders of the 24 Hours of Le Mans. Not in terms of results, - 7 abandonment, withdrawal in 1955 while he was leading the race with Fangio, when Mercedes decided to withdraw its cars after the tragedy, and 2 second places - but his starting and piloting are memorables.
With 12 victories, including 4 on the Nurburgring, he was "The" undisputed champion of endurance races.
For the race history, Jaguar and Ferrari fly in the long line of Hunaudières of the first round, the 250F was never designed for high speed in a straight line. But the dominance of cars " Le Mans " on the F1 will be short-lived talent driver will make the difference - and what difference! - in all parts of the winding circuit, many more since 1972. Spectators who moved stupefy attend a demonstration flight, while slippages testing, but very impressive. Since then, Moss sees a victory that can not, which does not escapes him on this circuit legend.
Willie Green, driving his Jaguar OKV3 remarkably driven, will bow in order of arrival.
En ce samedi matin ensoleillé de juin 1978 sur le circuit des 24 heures, la présence d’une Maserati 250F pour une course de voitures historiques, dans les 3 premières lignes de la grille de départ - parmi les Jaguar D, Lister Jaguar, Ferrari Testa Rossa et autres- était bien insolite. La présence du pilote qui était à son volant l’était beaucoup moins : il s’agissait de Stirling Moss. Tout d’abord parce qu’il avait gagné les Grands Prix de Monaco et de Monza sur une voiture similaire en 1956. Ensuite parce qu’il avait été, avec 10 participations de 1951 à 1961, un des grands animateurs des 24 Heures du Mans. Pas en terme de résultats, - 7 abandons, un retrait en 1955 alors qu’il était en tête de la course, avec Fangio, lorsque Mercedes décida de retirer ses voitures, suite à la tragédie, et 2 secondes places – mais ses départs et son pilotage sont restés dans les mémoires.
Avec 12 victoires, dont 4 sur le Nurburgring, il était Le Champion incontesté des courses d’endurances.
Pour la course historique, les Jaguar et Ferrari s'envolent dans la longue ligne droite des Hunaudières dès le premier tour, la 250F n’ayant jamais été conçue pour les hautes vitesses en ligne droite. Mais cette domination des voitures « Le Mans » sur la F1 va être de courte durée, le talent du pilote va faire la différence – et quelle différence ! – dans toutes les parties sinueuses du circuit, beaucoup plus nombreuses depuis 1972. Les spectateurs qui se sont déplacés assistent hébétés à une démonstration de pilotage, tout en dérapages controlés, mais néanmoins très impressionnants. Dès lors, Moss entrevoit une victoire qui ne peut pas, qui ne doit pas lui échapper sur ce circuit de légende. Willie Green, au volant de sa Jaguar OKV3 remarquablement pilotée, devra s’incliner en vue de l’arrivée.